Ces Psys qui couchent avec leurs patient(e)s

Isabelle Taubes

(extrait de "Psychologies magazine", septembre 2000, N°189, pp.60-64)

 

 



 

Que vivent les patients qui ont connu une trop grande intimité avec leur thérapeute ? Pourquoi doit-on absolument s'abstenir de passer à l'acte ? Enquête et témoignages.

L'auteur rappelle la position très stricte de Freud, et de ses disciples, à ce sujet. Non par moralisme, mais comme impératif technique.

Sexe et thérapie : incompatibilité totale

Depuis trois ans le Psy d'Anna la reçoit une fois par semaine dans son cabinet et s'allonge avec elle sur le divan. "l'affaire terminée, il m'embrasse sur la joue. Je le paye, je pars.Il est ma seule relation affective." Elle ne se plaint pas d'être "abusée".

Pourtant... "il y a toujours abus en pareil cas, explique Bernard Auriol, psychiatre et psychanalyste. Car même si de nombreuses patientes cherchent à séduire leur psy, leur véritable demande n'est pas de nature sexuelle : elles aspirent à un changement, à se déprendre des conflits et dépendances qui les emprisonnent. Or ce type de relation a l'effet inverse : elle enferme le patientb dans un univers dont le thérapeute est le maître."

Le reste de l'article est dans le N°189 du magazine "Psychologies" (sept.2000)

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30 Mai 2001