Conclusion

 

Si le stress ne peut être résumé à une seule définition, l’idée générale véhiculée par toutes se retrouve: réaction inappropriée de l’organisme à une agression extérieure perturbant l’individu dans toutes ses dimensions. Sa durée dépendra de celle de l’agression ou stressor ainsi que des réactions de la personne à celui-ci.

 

Le stress peut aisément, à ses débuts, être confondu avec une légère fatigue. Dés lors, il peut en coûter à certains bien des dégâts tel dépressions, angoisses, Burn-out. C’est pourquoi il importe de bien reconnaître les symptômes liés à chacun afin de mieux gérer la situation en cours et les demandes de l’organisme face à celle-ci.

 

Ceci étant dit, la nécessité du stress est maintenant démontrée permettant à l’être humain de satisfaire ses besoins. En effet, un stress minimum est nécessaire à la réalisation de chaque action, le stressor en étant le point de départ.

Il permet parfois à l’individu de se surpasser, d’accomplir des prouesses dont il ne se serait senti nullement capable en temps normal.

 

Je citerai donc en fin de cette conclusion cette affirmation de Selye : « L’absence totale de stress correspond à la mort. »

 



 

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© Copyright Stéphanie Vandendaele et Bernard Auriol

dernière mise à jour le 15 Juillet 2001