This article was conceived when a student came to me and asked, "Can I present a negative study in my Journal Club?" This generally sums up the attitude of some of us toward negative studies: skepticism. This is not a new practice; negative trials are known to attract less attention from different parties, including authors, editors, sponsors, and students, pursuing their graduate or postgraduate courses. There is enough evidence to show that not only are negative studies less likely to be published (publication bias),[1-4] they are also likely to be published with greater delay[5-7] as compared with studies showing positive results. For these and many other reasons (eg, they "devaluate" the quality of literature), negative trials have been labeled as "dull" and "meaningless.[8]"
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Cet article a été conçu quand un étudiant est venu à moi et au présent demandé et "Puis-je présenter une étude négative sur le journal de mon Club ?". Ceci résume l'attitude générale de nombre d'entre nous à l'égard des études négatives : le scepticisme. Ce n'est pas une nouvelle pratique ; des études négatives sont connues pour attirer moins d'attention de la part de différentes parties, y compris les auteurs, les rédacteurs, les commanditaires et les étudiants. Il est facile de montrer que non seulement les études négatives sont moins susceptibles d'être éditées (biais de publication), [1-4 ] mais aussi qu'elles le seront avec retard [5-7 ] par rapport aux études montrant des résultats positifs. Pour ces raisons et d'autres encore (par exemple, elles "dévaluent" la qualité de la littérature), les recherches négatives ont été marquées comme "sans intérêt" ; et "insignifiantes".[8].
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Because several arguments can be found in favor of "negative results," I will try to prove in this article that dissemination of the data stemming from negative trials is at least as important, if not in some cases more important, as the release of positive trial data. |
Mais comme plusieurs arguments peuvent être proposés en faveur de la publication des résultats "negatifs" j'essaierai de démontrer ici quela publication des épreuves négatives est au moins aussi importante, sinon, dans certains cas, plus importante, que la mise à disposition des données positives. |
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Although some of these advantages may appear obvious, others are subtler. Although this article is written mainly from the perspective of investigators and readers of scientific literature, many others (such as students and patients) may benefit from reading about the advantages of negative studies. Most of the discussion is limited to "negative" clinical trials of new drugs. However, there is no reason to believe that other types of negative clinical research or even negative animal studies are less important. |
Bien que certains de ces avantages puissent sembler évidents, d'autres sont plus subtils. Quoique cet article soit écrit principalement dans la perspective des chercheurs et lecteurs de la littérature scientifique, bien d'autres peuvent en tirer bénéfice (tel que étudiants et patients). La majeure partie de la discussion est limitée aux études cliniques de nouvelles drogues dont le résultat a été "négatif". Cependant, il n'y a aucune raison de croire que d'autres types de recherche clinique négative ou même d'études négatives sur les animaux soient moins importants. |
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d'après : Medscape Pharmacists 5(2), 2004. © 2004 Medscape