Recherches sur les latéralités

Résultats et interprétations

Louis Bassou

CONCLUSION

"La source n'est qu’un point géographique,
elle ne contient pas la force vive du fleuve''
.

G. Bachelard,
Essai sur la connaissance approchée,
Vrin, 1928 p. 15

 

Nous avons montré que des différences de comportement cognitif pouvaient être mises en relation avec des asymétries comportementales perceptives, visuelle et auditive, elles - même en rapport avec l'asymétrie comportementale motrice. Nous en avons déduit des modèles de fonctionnement théorique basés sur les modèles d'accès direct et d'efficience relative qui mettraient en évidence, s'ils se vérifiaient dans la suite, des asymétries fonctionnelles inter-hémisphériques.

L'utilisation des asymétries perceptives comme indicateurs de faits de spécialisation inter hémisphérique est réalisée depuis les travaux de Kimura, notamment. Des différences de comportement cognitif, dans une tâche très simple, exigeant un "mode opératoire" bien délimité et relativement accessible à  l'observateur pourraient s'avérer, elles aussi, des indicateurs de faits de spécialisation apportant un indice supplémentaire à  la direction d'asymétrie décelée au plan perceptif et/ou moteur.

En choisissant des tâches cognitives simples, en nous rapprochant en cela du perceptif, il serait peut - être possible d'atteindre le "mode opératoire" de base qu'utilise un sujet singulier, à  un moment particulier, pour tâche donnée et en deçà par le type même de traitement que réalise ce sujet, par le type d'asymétrie hémisphérique qu'il manifeste, de connaître à  quel hémisphère cérébral ou à  quels hémisphères et alors dans quel ordre, il donne la priorité de fonctionnement.

En citant Bachelard en exergue à  ce chapitre, nous voulons dire que l'information ainsi recueillie ne permet pas de préjuger des performances dans des tâches complexes et de durée beaucoup plus longue. Mais elle pourrait être un des éléments importants de la compréhension des conduites plus élaborées, comme du diagnostic de certains handicaps. Kinsbourne (1978, p. 561) reconnaît qu'il n'est pas exclu que différents patterns de latéralisation aient des implications dans les mécanismes cognitifs.

Le choix de la méthode expérimentale a été conditionné par un présupposé, qui devrait tomber sous le sens commun et qui pourtant est peu apparent dans bien des recherches de type cognitif : le sujet est premier par rapport à  la tâche.

Webster et Thurber (1978) ; Birkett (1978) ; Colbourn (1978) soulignent l'intérêt d'utilisation de paradigmes expérimentauxdynamiques pour comparer la latéralisation d'un individu par rapport à l'autre et insistent sur la nécessité de la définir non pas strictement par la tâche mais par les stratégies utilisées par le sujet.

Mais si le sujet est premier par rapport à  la tâche, les résultats évolueront en fonction de son comportement, lui - même variable ou constant. C'est une donnée à  accepter tant au plan des asymétries perceptives et motrices que des différences constatées dans le comportement cognitif.

L'on voudrait se rassurer par l'obtention de données rigoureusement reproductibles en toutes circonstances et en toutes conditions. La précision statistique, si elle est rassurante, n'en crée pas moins des types moyens dépourvus de réalité.

Or c'est le sujet psychologique qui nous intéresse et ce sujet évolue.

Si on veut mieux le comprendre - et nous ne le comprendrons que par rapport à  la tâche considérée - un seul test n'est plus suffisant.

Les tests d'asymétries comportementales mis au point et décrits dans le livret annexe, donnent une idée de l'accès de l'infirmation visuelle à  un hémisphère et du mode de traitement de cette information en fonction de l'attention sélective développée à  un moment particulier. Nous ne pouvons pas dire si, quelques heures plus tard, tous les sujets sans exception, présenteront les mêmes modalités d'accès et de traitement de l'information. Cela veut dire que si un sujet présente, par exemple, une asymétrie de convergence visuelle droite et auditive séquentielle gauche nous ne pouvons pas affirmer que le traitement d'une information spatiale sera de type global bien que la majorité des sujets de ce groupe privilégient ce mode de traitement.

Il faudra donc le test tachistoscopique pour apporter une confirmation aux faits constatés.

Aux asymétries de comportement moteur et perceptif viendront ainsi s'ajouter des différences de comportement cognitif : les hypothèses émises n'en seront que mieux vérifiées.

C'est pratiquement à  une étude clinique qu'il faudra se livrer. Les déterminations prendront du temps : nous dirons que ce temps passé est le prix qu'il faut payer pour mieux comprendre le comportement du sujet, car ce n'est pas à  partir des réponses à  un questionnaire, si commode d'un point de vue pratique, que l'on pourra juger des latéralisations des processus cognitifs.

De plus, les tests d'asymétrie auront à  être adaptés au type d'expérimentation proposée : par exemple, la convergence oculaire a un rôle secondaire dans une prise d'information auditive et l'asymétrie auditive déterminée, devra l'être en fonction des modes de traitement linguistiques ou non linguistiques exigés par l'information auditive.

C'est la raison pour laquelle le livret annexe porte comme indications : détermination de quelques asymétries ... Il n'existe pas de méthode universelle qui puisse servir en toutes circonstances : il est donc nécessaire de définir chaque fois ce que l'on veut mettre en relation et constituer des tests d'asymétries adaptés à cette mise en relation.

L'analyse des résultats provoque quelques réflexions sur des implications possibles.

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Au plan de la lecture

L'information visuelle nécessaire à  la lecture serait acquise durant les cinquante premières millisecondes de fixation de l'oeil (Rayner et al, 1981). Après que se passe t- il ?

- C'est au delà de ces 50 ms que sembleraient apparaitre les problèmes :- de décodage de l'information traité de manière parallèle dans chaque hémisphère ou traité en série, d'où allongement du temps de réflexion (Wheeles et Watkins, 1977) ;
- d'habileté réduite, chez certains, à  atténuer les canaux sensoriels qui ne servent pas (Milberg et al, 1981) ;
- d'habiletés visuelles mal développées (Musatti et al, 1981) ;
- d'inattention cérébrale et de suppression des stimuli perçus trans-calleusement par l'hémisphère gauche (Hynd et Obrzut, 1981) ;
- de déficits de mémoire auditifs pour le matériel verbal associés à  des déficits de fonction de l'aire d'association visuelle de l'hémisphère gauche (Me Keever et Van Deventer, 1975) ;
- de verbalisation implicite ou non à  partir de l'image visuelle (Coltheart et Qlick, 1974 ; Noiset, 1980).

Nous n'avons pas cité le mot "dyslexie", il est présent dans la plupart de ces recherches.

La lecture exige l'utilisation de deux systèmes : visuel et audio-articulatoire. L'apprentissage de la lecture n'est pas seulement l'apprentissage d'un code iconique, c'est aussi un moment particulier d'intégration et de conflit à une phase avancée entre la pensée visuelle (avec ses instruments) et la pensée verbale (avec les siens), (Levi et al 1981). Nous estimons qu'une connaissance des asymétries motrices et perceptives, au moment de l'apprentissage de la lecture, renseignerait efficacement sur les problèmes qui apparaissent, ou risquent d'apparaître, et sur la possibilité, dans l'apprentissage, du choix d'une aide différenciée en rapport avec les caractéristiques psycho-biologiques des sujets.

Au plan de la prévention

Même si les modèles théoriques proposés s'avéraient inadéquats les tests d'asymétries devraient 9tre utilisés, du moins aux périodes critiques du développement intellectuel de l'enfant : nous avons constaté des anomalies de latéralisation et de légers handicaps sensoriels (léger strabisme, problèmes de vision stéréoscopique, d'audition) qui n'avaient pas été décelés parce que la pratique courante veut qu'on ne prête attention à de tels problèmes.

Si les modèles s'avéraient adéquats, la connaissance des "modes opératoires" de base du sujet épistémique pourrait être décelée ce qui pourrait alors provoquer une autre attitude face aux problèmes pédagogiques posés par un enseignement de masse.

Au plan pédagogique

"Chaque individu a sa propre façon d'agir et de raisonner" estime Mounoud (1979 p. 108) qui définit le développement cognitif comme une construction d'organisations internes de contenus, configurations d'informations considérées comme support de programmes d'action.

Les sujets se différencient dès la fonction perceptive et le premier traitement opéré. Par la suite, se posent les problèmes de transfert de la mémoire sensorielle en mémoire immédiate à  plus ou moins long terme.

Des sujets à représentation imagée se révèlent "muets" face à  une tâche qui exigerait une verbalisation implicite, d'autres perdent du temps dans des répétitions écholaliques qui n'apportent aucun support représentatif, d'autres verbalisent intérieurement là où un simple coup d'oeil suffirait à  la saisie d'une information.

D'autres, ayant des aptitudes à  visualiser en imaginant les relations spatiales ont "une recherche de la solution facilitée car les composantes multiples des données (peuvent) être simultanément maintenues dans l'esprit pour être manipulées" (Blanc-Garin, 1974).

Certains syllogismes, certains problèmes de séries à  trois termes où l'ordre des mots ne concorde pas avec la succession des actes, où il est nécessaire de les renverser mentalement, ou de les recoder pour en comprendre le sens, représentent pour certains sujets des difficultés insurmontables. Les méthodes diffèrent pour arriver à la solution : verbalisations (Shaver, 1974 ; 1975 ; Clark, 1969) ; représentations imagées (Hanter, 1957 ; Huttenlocher, 1968 ; Scholz, 1974, ..).

De tels tests, ou d'autres comme le Progressive Matrice de Raven pourraient s'avérer d'excellents paradigmes expérimentaux en complément du test tachistoscopique pour une approche approfondie des modes opératoires, puis des stratégies mises en place par le sujet.

Il n'est pas dans notre esprit de vouloir classer les sujets et de créer une typologie qui s'avèrerait, vite, hélas, hiérarchisante et sélective, mais une aide différenciée pourrait être apportée à  certains si était connu leur mode opératoire de base.

Or actuellement tous les sujets reçoivent le même enseignement sous la même forme. Chacun développe à  sa façon le moyen de réagir à  des présentations d'informations qui ne lui sont pas adaptées : il manifeste ainsi parfois plus d'astuce, plus d'intelligence à s'adapter à  la situation qu'il n'en met à  la traiter directement.

Il est reproché aux programmes des écoles primaires d'éduquer un seul hémisphère, l'hémisphère gauche, et de laisser le potentiel de l'autre hémisphère non utilisé [ cf. Dessiner grâce au cerveau droit de B. Edwards (1979)].

Mais combien serait tout aussi dangereuse une éducation des pratiques perceptives comme elle semble l'avoir été pour certaines pratiques psycho-motrices [ cf. entre autres, Le Boulch (1971), Vayer (1973) et pour une critique Le Camus (1979).] trop intellectualisées, trop basées sur la "prise de conscience" des mouvements effectués dans un espace - temps rationalisé, structuré, non en fonction du sujet mais des impératifs de la connaissance.

Or, avant toute perception consciente ou préconsciente, il y a d'abord subception. C'est à  ce niveau que se constitue la trame sur laquelle sera créé le tissu des activités intérieures qui suivront. Laissons à  l'enfant le temps, et donnons lui les moyens, de prendre conscience par lui-même de ses actions intérieures comme de ses actes les plus extériorisés. Il ne s'agit pas seulement d'apporter des connaissances, encore faut-il qu'elles soient assimilées.

Bruant (1978) donne un excellent aperçu des méthodes utilisées dans le "compagnonnage" pour la formation des habilités sensori-motrices. Pratiques naturelles basées sur un apprentissage et non sur une "éducation".

 

Au plan rééducation

C'est l'attention sélective qui pose d'abord problème. Changeux (1976) estime "qu'apprendre résulterait d'une stabilisation sélective d'une fluctuation connectionnelle". Mais auparavant, il faut que l'information soit "attendue". S'il y a alternance des attentions, sur un hémisphère puis sur l'autre, les premiers moments de la prise et du traitement de l'information sont perturbés, le sujet hésite, perd du temps et oublie ou déforme son information.

"On ne peut éduquer la perception à  partir d'un matériel d'ordre essentiellement représentatif quand l'organisation perceptive est mal élaborée au niveau sensori-moteur" (Malesys, 1977).

C'est peut- être à  ce niveau que se situe le problème de la "dominance" cérébrale. Pour Gaillard (1979 p. 69) « un pourcentage non négligeable de dysphasies et de maladresses présente des troubles de l'établissement de cette dominance cérébrale et paient parfois cette dysharmonie du développement, notamment en insuffisances scolaires ». Nous ajouterons qu'inversement parfois, la dysharmonie de développement est pour certains le prix payé pour réussir "intellectuellement".

Un travail de recherche devrait porter sur une meilleure connaissance de ces mécanismes d'attention sélective non pour les provoquer et les faire apparaître artificiellement ici ou là, mais pour les stabiliser en un lieu où ils pourraient s'avérer les plus efficaces. Dean et Hua (1982) ont noté par exemple une reconnaissance des stimuli améliorée de manière significative pour l'oreille vers laquelle l'attention a été dirigée lorsqu'à l'origine il y a une préférence indéterminée.

Avant de parler de cultiver très tôt la synergie entre les deux hémisphères, de faire une éducation bilatérale entre 6 et 15 ans, encore vaudrait - il mieux comprendre les processus et où se situe le sujet par rapport à  eux.

Tout traitement interne est constitué d'une pluralité d'étapes : il faut différencier, estime Perruchet (1981), les traitements automatiques de l'information-processus fonctionnant en parallèle, des traitements attentionnels ou contrôlés. Là encore un savant dosage des deux assure efficacité et économie d'énergie.

Par exemple, en ergonomie, l'on sait déjà qu'une vision toujours "centrée", que l'utilisation accentuée d'un plan uniquement à  deux dimensions, fatiguent l'opérateur qui, en même temps, a besoin d'alternances de focalisations et de traitements plus automatisés.

Nous citerons les recherches de Berrondo (1970 1972 1976) qui ne se contente pas de rééduquer le strabisme oculaire mais y associe le "strabisme manuel", les mouvements des yeux consistant en doubles girations concordantes mais asymétriques par rapport au plan de symétrie du corps comme pour les mains lorsque les coudes sont collés au corps, avant- bras vers l'avant et qu'elles tournent d'un quart de tour vers la droite ou vers la gauche (convergence ou divergence des positions relatives des mains). L'intérêt d'associer les deux est sûrement évidents, ne serait-ce que pour un meilleur diagnostic. Il s'agit bien de latéralités motrices extériorisées, indispensables au savoir- faire binoculaire ou bimanuel. Mais de latéralités motrices et non d'asymétries à  mettre en relation avec le comportement hémisphérique.

Nous reprocherons à  certaines techniques de ne pas faire la distinction entre les deux types de latéralités : prévalences de "direction" et asymétries hémisphériques. Rééduquer les unes pourrait ne pas impliquer une modification obligatoire des autres dans la direction originellement escomptée.

Toute prothèse ou toute rééducation devraient prendre en considération les autres composantes des actes moteurs ou sensoriels dans lesquels elles s'inscrivent et prévoir autant que possible les répercussions ultérieures. Pour parler par images, nous dirons par exemple qu'il serait dangereux et stupide que l'action sur un "aveugle" au sens de "qui ne sait pas voir", pour qu'il apprenne à  voir en fasse un "muet" qui ne saurait plus verbaliser implicitement, ou aurait des difficultés à  le faire.

Au plan diagnostic

"Il y a des processus d'organisation spatiale et temporelle qui devancent l'usage des symboles et qui peuvent être atteints primitivement par la maladie" (Van Woerkom, in Puel et al 1982). Comment reconnaître ces processus et diagnostiquer des désorganisations éventuelles ?

Nous pensons que les tests présentés (ceux- ci parmi un ensemble d'autres déjà existants ou à  mettre au point), peuvent permettre une approche de cette maîtrise de l'espace- temps considérée comme atteinte dans l'aphasie. Avant le linguistique, il y a le langage implicite et, avant lui, des "attitudes" analytiques dont il faudrait savoir si elles sont perturbées ou non. Nous avons vu que l'identification perceptive avait lieu très rapidement sans qu'une verbalisation, même implicite, intervienne. En est- il de même chez les aphasiques ?

Qu'est- ce qui est atteint ? Les fonctions du langage ou, avant elles, le mode de traitement spécifique à  l'hémisphère gauche ? Ne pourrait- on prévoir des degrés de désorganisation d'un point de vue purement fonctionnel ? Et dans les "récupérations" possibles, la voie visuelle est- elle prise en considération ?

Le sujet "parle" plus ou moins bien mais il traite aussi l'information. Quelles sont les parts relatives de l'un et de l’autre système chez un sujet cérébrolésé ?

La détermination de l'asymétrie motrice pourrait s'avérer intéressante en faisant varier notamment les conditions expérimentales : rotations simultanées ou successives des deux mains, aide éventuelle ou non de la vision, interférences avec le verbal par verbalisation exigée en cours de test, etc.

 

Recherches sur les asymétries motrices

L'appareil de détermination des asymétries motrices devrait permettre :

- de découvrir les "vraies gaucheries", quel est l'hémisphère cérébral praxique ;
- de différencier les ambidextres adroits des maladroits : la rotation est rapide et harmonieuse pour les deux mains chez les premiers ;
- d'analyser le rôle du "pensé, imaginé, visualisé, verbalisé", dans les mouvements volontaires en choisissant des conditions de passation adaptées.

Il resterait à  apprécier la part du contrôle sur la main ipsilatérale par l'hémisphère concerné, le rôle sur les mécanismes moteurs du décroisement des voies auditives ou de l'inversion du mode de traitement hémisphérique constatés notamment chez les sujets à  asymétrie visuelle de convergence gauche.

Une voie de recherche possible, sur laquelle nous nous engageons, est l'étude cinématique du mouvement de rotation qui n'apparait pas continu selon la composante somatotrope ou somatofuge de l'acte.

Nous y voyons là une approche des contrôles contro et/ou ipsilatéral - d'un hémisphère, sur la musculature proximale et/ou distale par blocage des avant-bras par exemple ; par interférences avec le verbal par exigence d'une verbalisation à  un moment donné de la rotation.

Autres recherches:

En adaptant les tests au type de handicap présenté comment se comportent les sourds, les sourds- muets, les amblyopes. Quels types d'asymétries motrices et/visuelles et/ou auditives se manifestent chez eux. C'est une des premières vérifications qui sera tenté.

Questions en suspens

Le champ d'investigation est très large et beaucoup de questions attendent une réponse. Parmi les principales :

- peut- il y avoir des gauchers avec une convergence oculaire gauche ? s'il n'y en a pas, pourquoi ?
- peut- il y avoir des asymétries auditives "séquentielles" autres que droites avec une convergence oculaire gauche ? s'il n'y en a pas, pourquoi ?

Tels sont les axes de recherche possibles qui découlent de notre investigation et auxquels il conviendrait de s'attacher dès maintenant.

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Psychosonique Yogathérapie Psychanalyse & Psychothérapie Dynamique des groupes Eléments Personnels

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16 Novembre 2007