Le problème des bêta-récepteurs en Psychiatrie,

Etude critique de la littérature et observations cliniques,

C.E.S. Psychiatrie - Toulouse III - 215 pages - Ronéotypé (1973)

 

 

  1. Introduction (0-000 => 0.004)
  2. Etude de la littérature

    (I)

    1. Effets Périphériques des bêta-bloquants (1-010 => 1 - 020)
    2. Effet Anxiolytique des bêta-bloquants (1-030=> 1-070)
    3. Effet hypotenseuret bradycardisant central des bêta-bloquants (1-100 => 1-113)
    4. Bêtabloquants et barrière hémato-méningée (1-120)
    5. Autres effets centraux, en particulier de type neuro-endocrinologique (1-130 => 1-160)

    (II)

    1. Mécanisme de l'action centrale des bêta-bloquants, généralités (1-200)
    2. Effet bêta sur certaines transmissions nerveuses (1-201)
    3. Profil neuro-chimique du bêta blocage (1-210)
    4. Bêta-bloqueurs, adénylcyclase et AMPc (1-211 => 1-218)
    5. Action centrale des bêta-bloqueurs et effet quinidine-like (1-220)
    6. Action sur le SNC des bêtabloquants sans action bêtabloquante centrale ? (1-230 => 1-240)
    7. Analogies d'action entre L-DOPA et bêtabloquants (1-250)
    8. Faits et considérations concernant le blocage de la dopamine-bêta-hydroxylase et celui des récepteurs nor - adrénergiques (1-251)
    9. L-Dopa et bêtabloqueurs en association ? (1-252 => 1-254)
    10. Interactions adrénergie / cholinergie (1-255)
    11. Effet du propranolol sur les taux de catécholamines (1-260 => 1-262)

(III)

    1. Stress et catécholamines (1-300 => 1-350)
    2. Modification de la qualité anxieuse par le pindolol (1-360 et 1-400
    3. Effets psychotropes sédatifs et anti-psychotiques (Atsmon) (1-370 => 1-371)

(V)

Effets sur le cycle veille / sommeil lent / sommeil REM (PMO) des bêtabloquants (1-500 => 1-599)

    (VI)

    Remarques à propos de la biologie des altérations thymiques (1-600)

  1. Cas Cliniques
  2. Analyse des résultats
    1. Introduction
    2. Tableau
    3. Synthèse et Discussion (4-00 => 4-16)
    4. Conclusion
  3. Bibliographie

 

¤ (avec Nicole Palandjian, Monique Bord, André Vals), Les bêtabloquants en psychiatrie Nouv. Press. Méd. I, N°21, p.1439, (1972)

"B. AURIOL et collaborateurs signalent brièvement qu'ils ont constaté un effet psychotrope du Pindolol, bêta-bloquant qu'ils ont administré à 30 psychotiques à la dose de 7,5 à 47 mg. Ils ont constaté un effet souvent très marqué sur les symptômes d'inhibition et sur le délire des mélancolies délirantes et des psychoses puerpérales. Des effets secondaires ont été observés; les affections névrotiques paraissent ne réagir que transitoirement. Au total, ils retiennent un effet désinhibiteur et thymo-analeptique de ce médicament, en s'opposant à un effet surtout sédatif mis en évidence pour le Propranolol". (Notes bibliogr. Chabre).

(avec Nicole Pinar et Monique Bord), Le Pindolol, un nouveau psychotrope, l'Encéphale N°5, 15 p., (1973)

Au cours de notre étude clinique, nous avons cru constater que si le comportement n'était pas toujours amendé de façon spectaculaire, ou suivant les souhaits du milieu hospitalier, il était assez généralement transformé, dans le sens du passage de l'anxiété « négative » à l'anxiété « positive ».

 

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Texte de 1973
quelques notes le 18 Décembre 2007